Parlez-nous de votre parcours (études, postes occupés…) ?Après un parcours scolaire compliqué, j’ai commencé ma vie professionnelle en tant que technicien de maintenance informatique. À la suite d’un accident de travail, je me suis retrouvé par hasard propulsé en agence immobilière, et j’y ai alors connu de beaux succès.
Cependant, la crise et son marasme, qui ont débuté en 2008, m’ont fait abandonner ce secteur et je suis parti vendre des vins pour un domaine bourguignon sur les foires internationales et petits salons gastronomiques. Là encore, après un accident, je suis revenu à mes premiers amours, l’immobilier et ce, avec beaucoup de bonheur.
Au départ, ce fut uniquement le hasard, mais le hasard fait bien les choses. Le fait de concrétiser des projets de vie me satisfait pleinement et voir vos clients avec des étoiles plein les yeux est très valorisant.
Avec les différentes crises successives que nous traversons, il est compliqué d’avoir un regard juste sur l’avenir. Une chose est certaine cependant, c’est que grand nombre de nos citoyens aura toujours besoin de se loger, en location comme en acquisition. La pierre a toujours été la valeur refuge et le sera toujours.
J’ai découvert le portage salarial grâce à mon réseau immobilier (i-Particuliers), et j’ai trouvé le principe intéressant pour ma situation.
Ayant été spolié sur mes cotisations retraites par un ancien employeur chez qui je suis resté 15 ans, ce statut me permet de cotiser à toutes les caisses retraites et complémentaires et à pôle emploi. Mais le gros avantage, c’est que je n’ai rien à gérer au niveau de l’administratif, aucune déclaration à faire. Cela me laisse du temps libre et m’évite également des erreurs.
Oui, je recommande FCI les yeux fermés.
